lesrondedunet
Femmes rondes et opulentes
Je crois que j'y suis enfin. Apres 4h30 de route me voilà dans un endroit perdu de la Creuse. Quelle idée j'ai eu de venir passer des vacances à la ferme ? Cette idée est d'ailleurs venue de mes amis Marc et Sylvie ils ont insisté, « tu verras te connaissant, tu vas être emballé disaient-ils… »
Eh ! bien me voilà, une chose est sure, ici au moins pas de bruit pas de promiscuité, avec des touristes brailleurs. Je m'engage dans l'allée bordée d'arbres qui mène à la cour de ferme, celle-ci est vaste et propre, elle est bordée sur 3 cotés par des bâtiments celui du milieu étant manifestement l'habitation. Je me gare au centre de la cour face à l'habitation, je descends de la voiture et me délasse, il n'y a pas âmes qui vive apparemment. Je me dirige vers la porte d'entrée celle ci est ouverte, quand apparaît dans l'embrasure, une femme qui doit être mon hôtesse. Elle est vêtue d'une sorte de tee shirt long qui lui descend 10 cm au-dessus des genoux laissant voir des jambes bronzées bien proportionnées malgré leur épaisseur, car la dame est imposante 1m70 environ un visage rond, comme tout le reste du corps, un sourire éclatant éclairant l'ensemble..
Je me suis arrêté, et c'est elle qui s'avance vers moi je suis subjugué, je vois ses seins qui doivent être bien ronds et gros qui ballottent au rythme de ces pas, libres de toute entrave.
- Bonjour Gilbert, je suis Pauline
- Bonjour
La susnommée Pauline s'approcha de moi et sa poitrine frôlant mon torse me colla deux baisers sur les joues.
- Viens ne reste pas en plein soleil, je vais te présenter au reste de la troupe.
Cet accueil me laisse sans voix, je prends ma valise dans la voiture et emboîte le pas à mon hôtesse, qui se comporte avec moi comme si nous étions de vieilles connaissances. Je comprends mieux maintenant l'insistance de Marc et Sylvie qui connaissent si bien mon attirance pour les femmes bien en chair, je suis attirée par les rondeurs féminines depuis toujours et quand je dis rondeurs c'est vraiment rondeurs. Et là devant moi des fesses pleines et charnues se dandinent, me faisant chaud au creux du ventre.
Je pénètre dans une cuisine immense au milieu de laquelle trône une table non moins immense. La pièce est impeccable propre clair une odeur de bonne cuisine flotte dans l'air.
- Françoise notre invité est arrivé
Surgissant de l'arrière cuisine une autre femme de poids, entre dans la cuisine, Elle est vêtue du même tee shirt mi-long sans manche et je crois bien sans rien dessous.
Françoise est manifestement plus âgée, Pauline doit friser la quarantaine, alors que Françoise arbore une cinquantaine bien tassée, elle avait les cheveux blancs, taillés mi-court sous le tee shirt un ventre proéminent tend le tissu, et des mamelles tombantes et imposantes reposent dessus.
Elles se présentent comme mes hôtesses. Elles avaient toutes les deux un point commun, leurs visages bien que différents, étaient tous sourires.
Pauline me fit savoir que mes amis Marc et Sylvie, leur avaient téléphoné, les briffant sur mon compte. Nous savons tout de toi mon cher Gilbert me dit Pauline avec un sourire canaille.
Il se trouve que cette semaine nous n'avons pas d'autres réservations, nous allons donc nous occuper de toi.
Le coup était bien monté, sacrés Marc et Sylvie.
Bon c'est pas tout ça, Françoise Montre sa chambre à Gilbert, je pense que Gilbert à peut être envie de prendre une douche et surtout de se mettre plus à l'aise non !!! Pauline était semble t il la maîtresse de maison.
Empoignant ma valise j'emboîte le pas Françoise qui se dirige vers l'escalier menant à l'étage, à chaque marche le tee shirt se soulève me laissant entrevoir les cuisses larges et épaisses de mon hôtesse, je commence à me sentir à l'étroit dans mon pantalon, Tout à coup Françoise s'arrête, surpris mon visage vint heurter ses grosses fesses, je veux m'excuser quand d'un geste fluide elle relève son tee shirt dévoilant ainsi son fessier charnu, il était impressionnant mon nez était exactement entre ses fesses, elle se baisse cambrant ses reins au maximum, la raie des fesses écartée. Je colle immédiatement ma bouche sur l'œillet plissé qui apparaît à travers la touffe de poils gris hirsute qui jaillit dans tous les sens, je n'avais jamais rien vu d'aussi poilu, D'aussi touffu. Elle se redresse aussi subitement qu'elle s'est arrêtée et continue de grimper les escaliers en silence.
La chambre est vaste avec un grand lit, une armoire et un bureau, une salle de bain attenante bien équipé chose rare de nos jours, en plus du lavabo et de la douche un bidet, dommage que les wc soit dans la même pièce.
- Cela te convient
- Parfait ma chère Françoise
- Tu as aimé – Elle parle de son cul certainement
- J'ai adoré
- Tant mieux – ses yeux étaient posés sur la bosse de mon pantalon.
- Tu aimes lançai-je à Françoise
- Je crois que je vais adorer en disant cela elle s'approcha de moi et saisi ma queue à travers le pantalon, pétrissant mes couilles d'une main experte et habile.
- Bon je te laisse te mettre à l'aise.
Je me retrouve seul dans ma chambre, abasourdi par cet accueil on ne peut plus chaleureux, tout compte fait ma semaine de vacances ne sera peut être pas de tout repos.
Je pris rapidement une douche, et je choisis un maillot boxer moulant en lycra et un Marcel, pour rejoindre les deux grasses.
Dans la cuisine Pauline m'attend, elle me prend par la main et m'entraîne dans la pièce attenante qui sert de salon l'endroit est coquet, un grand divan des poufs (non des coussins bien sur) le tout sur une moquette épaisse, une table basse sur laquelle des verres et des boissons fraîches sont servis.
Pauline se laisse tomber sur un pouf, jet me fait asseoir en face d'elle sur le divan, l'invite est, on ne peut plus clair, assise en tailleur son tee shirt remonte au-dessus du nombril, j'ai une vue étourdissante sur son entre cuisse. Aussi touffu que le cul de Françoise des poils noir geais longs et luisants, un tablier de sapeur qui remonte pratiquement jusqu'au nombril, compte tenu de l'embonpoint de Pauline le spectacle est saisissant, rapidement ma queue prend une ampleur inégalée, difficile à cacher dans la tenue ou je suis mais est-ce vraiment nécessaire ? Car Pauline s'est approchée, et saisissant mon boxer elle le fait descendre sur mes pieds, et me l'enlève.
- Inutile de garder ce genre d'attribut me dit-elle, il fait chaud profitons-en…
Et elle retire son tee shirt, dévoilant son corps, ses seins sont lourds avec de larges auréoles brunes, elle est bronzée partout, sa peau à une finesse incroyable. Mes mains sont tout de suite partie à la conquête de ce corps voluptueux passant des seins au ventre, et à nouveau aux seins. Je m'agenouille près d'elle et j'attrape goulûment sa bouche offerte nous échangeons un baiser humide torride mêlant entremêlant nos langues avides. Puis-je la pousse à s'allonger et je la recouvre de mon corps. Ma langue agile se met à explorer ce corps impudiquement offert à mes caresses. J'empoigne ses mamelles pour les pétrir les malaxer, suçant les tétons les aspirant tout mon saoul. Enfin ma bouche prend possession de sa chatte mon nez humant l'odeur de femelle en rut dans les poils humides pendant que ma langue lèche les lèvres carminées de sa figue poisseuse, s'introduisant dans le conduit vaginal humide des secrétions de cyprine de plus en plus abondante. J'écarte de mes doigts la chatte faisant apparaître l'antre chaude et accueillante pour y coller ma bouche, avide de jus, j'aspire, fouille, lèche la moule maintenant béante de Pauline qui râle gémit à chaque coup de langue m'envoyant des jets de jus odorant que j'avale avec délice.
Puis, me redressant, je m'affale sur son corps épousant ses formes rebondies, et enfonce d'un coup de bélier mon chibre tendu dans le fourreau chaud et gluant, mon excitation est telle que je me mets tout de suite à la pilonner comme un sauvage, elle ne tarde pas à feuler comme une tigresse, je sens ses secrétions jaillir me trempant les couilles, je baigne dans son jus, et rapidement j'explose au fond de sa caverne l'inondant de mon foutre chaud. Je reste sur elle reprenant doucement ma respiration, je remarque alors que Françoise est là nue se caressant la chatte en nous regardant, elle est restée discrète appréciant le spectacle certainement à sa juste valeur.
Je me redresse m'asseyant face à Pauline qui reste les cuisses ouvertes, sa chatte se referme doucement laissant suinter le trop plein de sperme qui commence à lui couler entre les fesses. Françoise s'approche et se met à quatre pattes entre les cuisses de Pauline et consciencieusement lui nettoie la chatte avec sa langue, dans cette position elle m'offre une vue panoramique de sa chatte et son cul énorme, ses grosses cuisses pourtant largement écartée laisse à peine voir sa moule poilue, je hasarde un doigt en direction de celle ci je sens les lèvres épaisses je les roule entre mes doigts et les sentants humides je glisse à l'intérieur 1 doigt puis deux l'orifice est large et ouvert rapidement s'est ma main toute entière qui entre dans le vagin de Françoise et s'enfonce avec facilité dans le conduit, je la fiste ainsi, elle se trémousse, accepte mon bras, l'aspire.
Ma queue à repris de la vigueur, je m'installe derrière elle, et m'enfonce dans la moule, je ne frotte pas correctement les bords je suis trop petit pour un con aussi dilaté. Je me retire et présente mon gland turgescent sur son orifice anal, elle le sent et instinctivement elle recule, et je m'enfonce avec facilité, toutefois je suis plus à l'étroit que dans sa chatte, je me mets donc à la bourrer de coup de boutoir violent, je m'accroche à ses fesses et impose un rythme soutenu de va et vient, à chaque pilonnage mes couilles viennent cogner contre sa figue poilue. Je la pistonne de plus en plus fort éclatant sa rondelle culière comme un fou. A chaque coup de pilon sa bouche s'enfonce dans la chatte de Pauline qui se met à râler à son tour. La jouissance arrive brutalement, ma pine frémit dans le fourreau anal et expulse ses jets chauds de semences, le plaisir est brutal violent cinglant. Je me retire, et m'écarte du cul de Françoise elle reste ainsi offerte impudique son trou dilaté se referme lentement. Nous soufflons tous les trois après ces premiers ébats.
Après cette réception nous nous sommes mis à table, tous les quatre toujours en tenue d'Eve. Le repas se terminait, Quand la porte d'entrée s'ouvrit bruyamment laissant passer un énergumène plutôt curieux, environ 1m50 une grosse tête de simplet et surtout des longs bras simiesques au bout desquels pendaient deux mains énormes, deux vrais battoirs.
Aucune des deux filles ne s'offusqua de cette entrée tonitruante, au contraire Pauline lança un Salut Jules, le fait que nous soyons tous les trois nus ne semblait gêner personne. Le dénommé Jules grommela une sorte de bonjour, et se dirigea vers Françoise,
Celle ci lança un bonjour Jules enjoué, et Jules, lui, ne s'embarrassant pas de fioriture se plaça derrière elle et lui attrapa les seins qu'il se mit à malaxer avec ardeur, il lançait des « Jules pris douche, Jules pour Françoise ».
Pauline rapidement m'expliqua que Jules était un garçon arriéré qui travaillait pour eux, aux diffèrent travaux des champs, Et qu'il était de plus très amoureux de Françoise. Ce n'était manifestement pas un amour platonique vu la façon dont il se comportait avec elle. Françoise d'ailleurs non seulement se laissait faire mais appréciait les caresses de Jules. Celui-ci s'excitait de plus en plus en plus il était maintenant à genoux derrière elle et lui léchait le fesses à grand coup de langue.
Françoise finit par se lever et entraîna jules vers le salon. Pauline vint vers moi et me prenant par la main m'entraînaient également dans le salon.
- Viens dit Pauline tu vas voir un spectacle étonnant.
Dans le salon Françoise avait entrepris de déshabiller Jules qui continuait à la caresser lui prenant tantôt un sein, tantôt il attrapait à pleines mains son ventre graisseux le malaxant maladroitement.
Françoise défit la ceinture du pantalon et d'un geste sur le fit descendre sur les chevilles de Jules, qui leva les pieds pour faciliter l'enlèvement du vêtement.
Françoise s'écarta, me laissant voir jules dans toute sa nudité. C'était ahurissant cet homme aux allures simiesques, les bras ballants le long du corps avait entre les jambes un engin qui commençait à frémir, la chose était énorme, disproportionnée, sa pendait encore pour l'instant, un pieu qui au repos était plus long et plus gros que moi en pleine érection, et je ne suis pourtant pas si mal pourvu que ça.
Françoise s'était agenouillée devant Jules et prenant le membre dans sa main se mit à le lécher avec passion, la chose se développait l'afflux de sang dans les veines raidissaient inexorablement le gourdin de Jules.
Pauline s'approcha de moi, et me dit – Etonnant n'est-ce pas ? Je crois que seul Françoise est capable de recevoir ce membre, et en contre partie je crois que seul Jules est capable de la faire jouir. Viens me dit-elle, elle me fit asseoir à coté d'elle sur le canapé.
Françoise avait fait allonger Jules sur la moquette, et elle vint se mettre au-dessus de sa bouche et elle s'accroupit, faisant bailler sa moule, au-dessus du visage de Jules, celui-ci aussitôt s mit à la lécher avec vigueur, pendant que Françoise branlait sa pine avec application décalottant le gland monstrueux et déjà luisant. Au bout de quelques minutes de ce régime, Françoise vint, toujours accroupie tournant le dos au visage de Jules, se positionner sur la bite tendue, et je vis doucement celle ci disparaître centimètre par centimètre dans la figue distendue, d'où nous étions le spectacle était dantesque, elle commença une séance de traction, sur les jambes qui était un véritable exercice de sport compte tenu de ces 130kg.
Enfin Françoise se releva et se plaça à quatre pattes, aussitôt Jules se mit derrière elle et saisissant sans ménagement les bourrelets des hanches il enfila la chatte ouverte sans ménagement, et commença un pilonnage de forcené. Jules râlait éructait des onomatopées incompréhensibles, alors que Françoise elle lâchait des cris à chaque pilonnage, elle excitait son défonceur, « plus fort Jules, plus fort » et tout à coup elle se mit à hurler, elle jouissait tout son saoul, arrosant de son plaisir les couilles énormes de son amant, qui a son tour poussa un cri de bête sauvage, aussitôt Françoise se libéra du sexe et se retournant saisit à deux mains la colonne de chair frémissante, et la dirigea vers son visage pour recevoir la première giclée longue et chaude de foutre qui vint s'écraser sur sa joue, éclaboussant son visage, puis les saccades continuèrent, Françoise dirigeait la manœuvre se couvrant littéralement de la semence de Jules qui jouissait à n'en plus finir.
J'étais subjugué par le spectacle, le chibre finit par se tarir, Françoise se releva, son corps était couvert de traînée blanchâtre, elle empoigna Jules par la main et ils partirent tous les deux en direction de la salle de bain.
Je ne m'étais pas rendu compte, pris par le spectacle, que Pauline avait embouché mon sexe et qu'elle s'activait sur moi avec professionnalisme sa bouche chaude et humide passait et repassait sur mon gland depuis un petit moment, et quand, remis du spectacle, je commençais à profiter à mon tour de la pipe de Pauline, je ne pus qu'agripper la tête de celle ci pour la maintenir fermement alors que je déchargeais tout mon saoul dans la bouche de la suceuse, qui ne perdit pas une goutte, elle se releva, pour m'embrasser à pleine bouche me faisant goûter à ma semence.
J'avais à ma disposition deux femmes certes rondes et grasses à souhait, et qui n'avaient apparemment aucun tabou, aucune inhibition, je crois que j'allais me plaire dans cette maison.
Mes deux hôtesses étaient vraiment de belles salopes (au sens sexe du terme bien sur). J'en fus persuadé la nuit même. Alors que, éreinté après le voyage et l'accueil chaleureux, j'étais monté me coucher afin de reprendre rapidement des forces… Je me réveille j'allume la lampe de chevet regarde l'heure – minuit et demi- Il n'est pas dans mes habitudes de me réveiller ainsi en pleine nuit, j'éteins quand un cri me fait sursauter. Je me redresse et en tendant l'oreille j'oie des gémissements, aussitôt je comprends que mes hôtesses prennent du bon temps, avec Qui ? Jules est parti hier soir en même temps que moi…. Intrigué, je me lève, je longe le couloir un rai de lumière jaillit de la porte d'une chambre je m'approche celle-ci est entr'ouverte, je pousse doucement le battant et jette un œil discret.
Le spectacle est grandiose je vois les fesses de Françoise offertes ouvertes dévoilant sa rosette souple et plissée. Elle est à genoux entre les cuisses de Pauline les jambes de celles ci sont relevées haut et coincées par les bras potelés de Françoise qui manifestement applique un cunnilingus forcené à sa compagne. Des bruits de suce m'indiquent que la caresse buccale à un effet certain sur Pauline, je suis entré doucement et je reste là à regarder ces deux femmes épanouies se donner du plaisir sans retenue.
Françoise se redresse dans le mouvement je vois les plis de sa figue ouverte celle ci est béante humide, des gouttes de cyprine perlent et s'égrainent entre ses cuisses épaisses. J'aperçois aussi la moule ouverte de Pauline et une large tache humide sur le drap, le jus a coulé à flot. Puis Pauline se redresse et se met à son tour à genoux dans ce mouvement elle me fait face et m'aperçoit, un sourire illumine son visage, et elle me fait signe de me taire Françoise me tournant toujours le dos.
Je la regarde, elle se retourne et saisit quelque chose derrière elle. Françoise à ce moment se met à quatre pattes cambrant les reins et m'offrant ainsi une vue imprenable sur l'antre ouverte de sa moule elle tortille des fesses pour bien s'ouvrir. A ce moment Pauline se place derrière elle tient à la main un gode ceinture double, énorme, ou peut-on trouver de tel engin, il a été vraisemblablement fait sur mesure, la partie externe a un diamètre qui doit avoisiner la taille d'un magnum de champagne et mesure au moins 30 cm, la partie interne est plus courte de dimension raisonnable, celle d'un homme normal quoi, elle a déjà ceint la monstruosité autour de sa taille s'enfonçant d'un coup la partie interne du gode. Je m'approche et l'aide discrètement a serre l'engin au mieux. Je suis subjugué les cuisses de Françoise sont largement ouvertes, Pauline s'approche d'elle et frotte Le gland synthétique sur le clito durci de sa compagne, celui pointe entre les lèvres humides, sensible à la caresse.
Puis le pieu de silicone luisant du jus de la moule excitée se pose à l'entrée du tunnel, Pauline n'a pas le temps de pousser que déjà Françoise telle une furie sentant sans doute l'engin lui frôler les lèvres, a reculé brutalement le fessier engloutissant d'un coup l'énormité, dans son fourreau graissé, je regarde la scène ma queue est tendue depuis un moment et je ne peux m'empêcher de me branler au rythme des coups de boutoir de Pauline la moule de Françoise est dilatée au maximum. Chaque sortie de la bite de plastique, laisse entrevoir l'ouverture béante, c'est impressionnant d'autant qu'à chaque fois des jets puissants d'urine viennent arroser les cuisses de Pauline qui elle aussi est en transe et feule comme une tigresse. Au bout de quelques minutes de ce régime les deux femmes s'affalent sur le lit l'une sur l'autre dans un grand cri de jouissance extrême. J'en profite pour m'éclipser discrètement laissant derrière moi sur le plancher une traînée blanchâtre signe de mon passage.
Bonne nuit……
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dis donc c est dans quel bled que tu as trouvé ces deux femelles en chaleur, a lire ton récit j ai craché mon jus, trop sexe, files moi l adresse, salut
Whaouu...votre recit m'a amoustillé!!!!
vive les rondes!
bises